Last Updated on 1 mois ago by adminclosw
Seniors garçons
Les garçons ont assuré l’essentiel et validé leur billet pour le troisième tour de la Coupe de France. Opposés à une formation saint-quentinoise valeureuse et déterminée, les Bleus et Blancs ont su faire respecter la hiérarchie. Malgré un effectif largement remanié en raison de nombreuses absences, Vincent Carretero a relevé son défi avec brio.
« Les joueurs ont répondu présents malgré les difficultés du moment. Ils ont montré de la solidarité et un vrai esprit de groupe. Je suis fier d’eux », a confié l’entraîneur à l’issue de la rencontre.
Vincent Carretero espère désormais accueillir le prochain rendez-vous à domicile, histoire de récompenser ses joueurs ainsi que les fidèles supporters qui avaient fait le déplacement ce dimanche.
Seniors filles
Les filles ont tenu tête pendant 45 minutes avant de finir par céder. Opposées à une formation évoluant un échelon au-dessus, la mission s’annonçait délicate pour le groupe d’Arnaud Couvreur. Pourtant, les Wahagnisiennes ont longtemps fait douter Perenchies, tenant le score et rivalisant dans l’intensité pendant près d’une heure.
« Les joueuses ont montré un véritable caractère. Pendant une bonne partie du match, on a réussi à les faire douter, et ce n’était pas gagné », soulignait l’entraîneur après la rencontre.
Le score final, un brin sévère, met un terme à leur aventure en Coupe de France. Mais pas à leur dynamique.
« On sort frustrés, bien sûr, mais aussi fiers. Maintenant, on va pouvoir se tourner pleinement vers le championnat et rester concentrés sur l’objectif fixé en début de saison », ajoutait Couvreur, déterminé.
Les filles peuvent désormais aborder la suite avec ambition et lucidité.
-18 ans Filles
La marche était trop haute pour les -18 filles du CLOSW. Opposées à une formation valenciennoise plus complète et mieux armée, les joueuses n’ont pourtant pas démérité. Elles ont livré une prestation courageuse, mais il a bien fallu reconnaître la supériorité de l’adversaire du jour.
« Les filles ont tout donné, mais Valenciennes était plus solide dans tous les secteurs. On ne peut que saluer leur engagement », analysait Constance Lefrancq à l’issue de la rencontre.
Malgré la défaite, le groupe garde la tête haute.
« On sait qu’une victoire finira par arriver. Les filles doivent rester convaincues que tout est possible. On retourne au travail, tout simplement », ajoutait-elle, déterminée.
-15 ans Filles
Les filles se sont fait rejoindre dans la dernière minute, au terme d’un match haletant. Après vingt premières minutes très engagées, les Wahagnisiennes avaient pris les devants et semblaient tenir leur victoire. Mais dans un money time sous tension, leur adversaire du jour est revenu au score, arrachant un nul dans les ultimes instants.
« On mène, on maîtrise par moments… mais on manque encore de maturité pour tuer le match », analysait Lisa Ferreira, lucide.
Au-delà de la frustration, ce score de parité reste un résultat positif pour le groupe, qui décroche ses premiers points dans un championnat particulièrement relevé.
« Les filles ont montré de belles choses. Ce point, on va s’en servir pour avancer et continuer à grandir », ajoutait l’entraîneur, satisfaite de la progression affichée
-15 ans Garçons
Les -15 garçons accueillaient sur le parquet de la salle Marceau Laurent une formation de Bauvin/Provin en difficulté. Et les Wahagnisiens n’ont pas laissé passer l’occasion de décrocher une nouvelle victoire. Malgré quelques séquences d’indiscipline, les locaux se sont montrés redoutablement efficaces face au but, imposant leur rythme du début à la fin.
« On voit de très belles choses depuis plusieurs semaines », confiait Valerie Lacressonniere, soulignant « le sérieux et la concentration » affichés lors des derniers matchs. Une victoire qui reflète parfaitement l’investissement du groupe à l’entraînement.
Valérie et Thibaut sont en train de façonner un véritable groupe de guerriers, prêts à défendre leurs couleurs chaque week-end. « Les garçons répondent présents, et ça fait vraiment plaisir pour le club », savourait le duo d’entraîneurs à l’issue de la rencontre.
-13 ans
Le groupe de Pascal Broy se déplaçait à Cysoing pour défier une redoutable formation pévèloise. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les spectateurs n’ont absolument pas été déçus.
Pendant près de 45 minutes, le match s’est transformé en un véritable mano a mano, chaque équipe rivalisant d’intensité pour tenter de prendre les commandes. « On savait que ce serait un combat du début à la fin », confiait Pascal Broy après la rencontre, saluant « l’engagement total » de ses joueurs.
Si cette confrontation ne restera peut-être pas comme un tournant de la saison, elle pourrait bien servir de référence pour la suite du projet wahagnisien. « C’est un match qui nous fait grandir », ajoutait l’entraîneur, visiblement satisfait du niveau affiché par son groupe.
-11 ans
Les moins de 11 ans avaient à cœur de repartir du bon pied, et ils n’ont pas manqué leur rendez-vous. Face à Bousbecque, les jeunes ont décroché une victoire nette sur un score large qui ne reflète pas un match parfait, mais plutôt une véritable maîtrise collective.
Mené par un duo Louis Masselot / Nolan Dubaele particulièrement inspiré, le groupe a su imposer son rythme. « Les garçons ont répondu présent dans tous les secteurs du jeu », glisse un membre du staff, satisfait du sérieux affiché.
À la fin du match, la scène était belle : sourires, éclats de voix et ce sentiment palpable du travail accompli. « C’est de bon augure pour la suite de la compétition », confiait l’entraîneur JC Gogneaux, visiblement serein pour l’avenir.
Mini-hand
Le mini-hand a pris la route de Douai samedi matin pour une triangulaire amicale qui respirait la bonne humeur. À cet âge-là, inutile de scruter le tableau d’affichage : le score n’a que peu d’importance, rappellent les éducateurs. Et ils ont raison : ici, la priorité, c’est le jeu, rien que le jeu !
Sur le parquet, les jeunes pousses s’en donnent à cœur joie. « On s’amuse, mais on bosse ! », glisse un entraîneur en bord de terrain, sourire en coin. Et il suffit de les regarder pour comprendre : passe, tir, attaque, défense… tout y passe ! Les enfants enchaînent les actions comme on récite une leçon bien apprise, fruit des séances d’entraînement de la semaine. Un vrai plaisir à voir : sérieux et enthousiasme dans la même balle !
Autour du terrain, les parents observent, admirent, parfois retiennent un souffle avant un tir, puis applaudissent sans retenue. Les enfants jouent, s’expriment, progressent. Une petite ambiance de grand sport.
Au final, voilà la recette d’un “plateau” mini-hand réussi : de la joie, du mouvement, des encouragements, et cette envie simple mais précieuse de partager le handball. Une matinée comme on les aime.





